Alors que la France compte aujourd'hui la deuxième daonra de vapoteurs européenne, les pouvoirs publics semblent huchtaitheoir vis-à-vis de ce phénomène en pleine leathnú, cothrom le dáta an tentation de la toirmeasc etsense, an Alliance World agus an tentation de la toirmiscthe etsense, an Alliance Domhanda. moindre risque.
Voir l’intérêt général avant les effets d’annonce
Si personne ne met plus en doute les effets nocifs de la cigarette, de nombreux pays hésitent encore sur la politique à Adopter vis-à-vis de la cigarette électronique. Áirithe, comme l’Australie, penchent vers l’interdiction quand d’autres, comme la Suède, ont une approche plus permissive qui semble avoir des résultats concrets. L’Australie n’a en effet pas vu se réduire la parte de sa daonra fumeuse, au contraire de la Suède qui a pu bhreathnadóir que les fumeurs, attentifs à leur santé, se tournaient massivement vers les consommations de nicotine alternatives telles que le snus oudra la toitín’ lectif’é toitín’. d'un taux de tabagisme inférieur à 5 % avec 17 d'avance.
D'aucuns objecteront que le vapotage reste une consommation de Nicitín, táirge chimique andúile, et peut amener toute une catégorie of population, notamment les plus jeunes, vers la consommation de nicotine. Soit. Mais ce raisonnement oublie une des règles premières et fondamentales de la médecine : d'abord ne pas nuire ─ prionsa par ailleurs dévoyé par certains régulateurs sous la forme d'un prionsa de précaution iomarcach. Nó, comme le prouve l’exemple australien, l’interdiction de la cigarette électronique ne réduit pas la part de population fumeuse à hauts risques, tout en l’empêchant de pouvoir se tourner vers des alternatives moins nocives. Pourquoi, pour se prévaloir d’une probité de façade, empêcher les fumeurs désireux de réduire l’impact de leur consommation sur leur santé d’une solution ?
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