Le vapotage aide les fumeurs à arrêter de fumer et leur sauve la vie.
Véronique Trillet-Lenoir, membre de la commission spéciale du Parlement européen sur la lutte contre le cancer et ancienne oncologue, reconnaît que le vapotage est moins nocif que le tabac. C'est une excellente nouvelle.
Il est très encourageant de constater que les décideurs européens, qui ont leur mot à dire sur la réglementation du vapotage, commencent à écouter la communauté scientifique et les consommateurs. C'est la preuve que la voix des vapoteurs commence à être entendue.
À l'Alliance mondiale des vapoteurs, nous savons que nos 14 000 vapoteurs et nos 23 organisations partenaires sont très préoccupés par l'évolution de la législation sur le vapotage au niveau européen. Si la commission spéciale du Parlement européen sur la lutte contre le cancer reconnaît le vapotage pour ce qu'il est : un outil pour aider les fumeurs à arrêter et à combattre le cancer, nos efforts n'auront pas été vains. Reconnaître et soutenir la réduction des risques et le vapotage dans le cadre de la lutte contre le cancer représente un grand pas en avant vers nos objectifs communs.
Mais le combat n'est pas terminé. Nous devons poursuivre nos efforts, lutter contre la propagande anti-vapotage et informer nos responsables politiques de la vérité sur le vapotage. Au lieu de prôner une approche du type “ arrêter ou mourir ”, ils doivent continuer d'écouter la voix des citoyens, de celles et ceux dont la vie a été transformée positivement par le vapotage.
Écrivez dès maintenant à votre député européen.
#BackVapotageVaincreLeCancer