Il existe un déficit démocratique au cœur de l'élaboration des politiques de l'UE.

Comme le Conférence mondiale sur la lutte antitabac Une puissante manifestation visuelle s'est déroulée à Dublin cette semaine, dénonçant une injustice fondamentale : Les consommateurs, soit les personnes les plus touchées par les politiques antitabac, restent systématiquement exclus des processus décisionnels mondiaux.. Le "“Des voix inaudibles – Les consommateurs comptent !”La campagne comprenait un spectacle de lumières illuminant le centre de conférence et une manifestation silencieuse, les bouches scotchées, symbolisant l'exclusion des fumeurs adultes et des anciens fumeurs des instances de décision. Cette exclusion n'est pas seulement ironique ; elle constitue une faille majeure dans la lutte antitabac mondiale, qui atteindra un point critique lors de la COP11 à Genève en novembre, à moins que les décideurs politiques ne s'attaquent de front aux agendas idéologiques de Michael Bloomberg et de l'Organisation mondiale de la Santé.

L'approche actuelle de la lutte antitabac est vouée à l'échec. Pendant ce temps, Bloomberg investit des milliards dans des politiques prohibitionnistes et l'OMS fait activement pression… interdictions de saveurs Face aux restrictions imposées aux alternatives plus sûres, l'expérience vécue par des millions de personnes ayant arrêté de fumer grâce à des produits à risque réduit est ignorée. Il ne s'agit pas d'un hasard, mais d'une exclusion institutionnalisée. La Convention-cadre de l'OMS pour la lutte antitabac, fortement influencée par les financements de Bloomberg, marginalise explicitement la voix des consommateurs et l'expertise en matière de réduction des risques. Il en résulte des politiques telles que l'interdiction du vapotage en Inde en 2019 – directement préconisée par des groupes financés par Bloomberg – qui éliminent des alternatives vitales tandis que les cigarettes combustibles restent largement disponibles. C'est une stratégie de santé publique perverse : protéger le marché du tabac en étouffant la concurrence.

Ce décalage est particulièrement alarmant au sein de l'Union européenne. Alors que la Suède se rapproche du statut de pays “ sans fumée ” grâce à une réduction pragmatique des risques, la Commission européenne flirte avec des politiques prohibitionnistes dans le cadre de la révision de sa directive sur les produits du tabac. Propositions divulguées On propose d'interdire les arômes, de restreindre la vente de sachets de nicotine et de taxer le vapotage — des mesures qui inciteraient inévitablement les Européens à recommencer à fumer. Ce n'est pas une simple spéculation ; c'est une tendance bien établie. Lorsque l'Alliance mondiale des vapoteurs a livré 100 000 signatures Face aux protestations du Parlement européen contre ces mesures régressives, un déficit démocratique a été mis en évidence.Les décideurs politiques légifèrent contre les consommateurs, et non pour eux. L'alignement de l'UE sur la position anti-scientifique de l'OMS – où le terme “ moins nocif ” est délibérément interprété comme signifiant “ toujours nocif ” – ignore les preuves accablantes, notamment celles de Public Health England, démontrant que le vapotage est moins dangereux que le tabagisme.

La COP11 offre une dernière chance d'éviter un désastre politique. Pourtant, le bilan de la Convention-cadre de l'OMS pour la lutte antitabac (CCLAT) en vingt ans est sombre : exclusion des consommateurs, primauté de l'idéologie sur les faits et influence néfaste de Bloomberg. Le processus de la CCLAT empêche activement la participation des consommateurs, ignorant les témoignages concrets de ceux qui ont réussi à arrêter de fumer. L'OMS exige… interdictions de saveurs Cela contredit les données montrant que les arômes sont essentiels pour le sevrage tabagique chez les adultes. Bloomberg finance la majorité des initiatives mondiales de lutte antitabac, ce qui fait de l'opposition de sa fondation à la réduction des risques une politique mondiale de facto.

La priorité doit être de sauver des vies.

Cela doit cesser. Les pays qui adoptent des mesures de réduction des risques constatent une baisse sans précédent du tabagisme : au Japon, l’adoption du tabac chauffé a permis de réduire les ventes de cigarettes de 42 % en cinq ans. La Suède et la Nouvelle-Zélande deviendront bientôt des pays sans tabac grâce à leurs approches novatrices en matière de vapotage, de sachets et de snus.

La solution exige une restructuration en profondeur. Les consommateurs doivent être au cœur de l'élaboration des politiques, notamment les anciens fumeurs et les défenseurs de la réduction des risques au sein des délégations de la COP11. Les décideurs politiques doivent se baser sur des données probantes et réglementer en fonction du risque relatif, et non sous le coup de la panique. Il faut rejeter les excès de Bloomberg ; la politique de santé publique ne doit pas être dictée par la croisade personnelle d'un milliardaire. La Convention-cadre de l'OMS pour la lutte antitabac (CCLAT) doit se moderniser et intégrer la réduction des risques liés au tabac comme stratégie fondamentale, et non comme une menace.

La manifestation à Dublin (voir photo) n'était pas une mise en scène, mais un avertissement. Lorsque les politiques sont élaborées dans des cercles idéologiques et d'influence, elles échouent. À l'approche de la COP11, le choix est clair : poursuivre l'expérience prohibitionniste de Bloomberg et condamner des millions de personnes à des décès liés au tabagisme, ou enfin écouter celles et ceux qui ont trouvé des alternatives plus sûres au tabac. L'avenir de la réduction des risques est en jeu, et nous refusons de nous taire.

Publié à l'origine ici

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